FAQ

Isolement, irritabilité, repli, changement de comportement, perte de motivation scolaire, usage régulier d’écrans ou de substances sont des signaux à prendre au sérieux.

Elle explore l’origine inconsciente de la dépendance, souvent liée à une souffrance ancienne, un vide affectif ou un conflit intérieur. Elle permet un travail en profondeur.

L’addiction implique une perte de contrôle avec des conséquences négatives. La dépendance peut être physique ou psychique, mais sans nécessairement détruire la vie quotidienne, comme la dépendance au sport ou au travail.

Par des évitements répétés, des crises d’angoisse déclenchées par un objet ou une situation précise, ou un repli face à l’incompréhension.

La phobie est une peur localisée. Le traumatisme est un choc psychique qui dépasse la capacité d’intégration, souvent sans objet précis.

En mettant des mots sur l’angoisse, en explorant les scénarios inconscients qui s’y rattachent, et en renforçant le sentiment de sécurité

C’est une relation déséquilibrée où l’autre prend le contrôle, laissant peu de place à la pensée, au choix ou à la liberté personnelle. Elle fait le jeu des pervers.

Culpabilité, confusion, honte, sentiment d’infériorité, dépendance affective. L’abus détruit la confiance en soi.

En identifiant les loyautés toxiques, en se différenciant sans culpabilité, avec un accompagnement thérapeutique et en s’appuyant sur son environnement propre.

L’angoisse est brutale, physique, parfois sans objet. L’anxiété est plus diffuse, persistante, liée à des conflits internes.

Cela peut refléter une souffrance non verbalisée : peur du regard, dépression, angoisse de séparation ou difficulté à se sentir à la hauteur.

Il faut entendre ce refus comme un signal. Une thérapie peut l’aider à exprimer ce qu’il vit et à retrouver sécurité et désir d’apprendre.

La dépression est une perte de sens. La mélancolie est plus grave, marquée par une haine de soi et un sentiment de culpabilité intense.

Oui, en complément d’un traitement médical, la thérapie aide à comprendre les racines psychiques des épisodes et à mieux se connaître.

Oui, dans un cadre adapté. La parole peut progressivement restaurer une continuité psychique là où tout s’est fragmenté.

Fatigue persistante, perte de motivation, irritabilité, troubles du sommeil, sensation de vide, désengagement émotionnel.

Oui, très souvent. Ils portent de lourdes charges mentales et émotionnelles, parfois dans une grande solitude

Cela dépend de l’histoire de chacun. La priorité est de reconstruire à son rythme un équilibre plus juste et respectueux de soi.

Aux enfants, adolescents et adultes ayant vécu un choc, un traumatisme, ou une angoisse persistante non résolue.

Non, on ne revit rien. On se reconnecte à un souvenir ou à une sensation, dans un cadre sécurisant, pour le transformer.

Parfois quelques séances suffisent pour un événement précis. Pour des traumatismes complexes, un travail plus long est nécessaire.

Elle repose sur la parole, le lien de confiance, l’exploration des conflits intérieurs et des répétitions qui font souffrance.

Non. Le besoin de comprendre, de mieux vivre, de sortir d’une impasse suffit. Toute demande est légitime.

Le rêve donne accès à l’inconscient. Il permet de mettre en scène ce que l’on ne peut pas dire directement. Il éclaire les conflits internes.